Physiopathologie des obésités, du diabète non insulinodépendant et de leurs complications métaboliques - 01/01/92
Laboratoire de recherches métaboliques, 64, av. de la Roseraie, 1211 Genève 4 France
Résumé |
Depuis de nombreuses années on a observé qu'il y avait une relation entre l'obésité, le développement d'une tolérance glucidique anormale et un diabète non insulinoépendant (DNID). Cependant, la nature précise de cette relation et ses mécanismes sous-jacents restent mal connus. Des études épidémiologiques concernant la prévalence du DNID dans différents types de population ont montré que l'obésité précède le développement du DNID dans plus de 80 % des cas . En clinique, on observe fréquemment qu'un gain de poids de l'ordre de 4,5 à 7 kg annonce le début d'un DNID chez un individu prédisposé à cette pathologie et qu'une perte de poids analogue améliore de façon significative la glycémie d'un patient atteint d'un DNID.
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