Aluminum adjuvants of vaccines injected into the muscle: Normal fate, pathology and associated disease - 26/05/16

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Aluminum oxyhydroxide (Alhydrogel®) is a nano-crystalline compound forming aggregates that has been introduced in vaccine for its immunologic adjuvant effect in 1926. It is the most commonly used adjuvant in human and veterinary vaccines but mechanisms by which it stimulates immune responses remain ill-defined. Although generally well tolerated on the short term, it has been suspected to occasionally cause delayed neurologic problems in susceptible individuals. In particular, the long-term persistence of aluminic granuloma also termed macrophagic myofasciitis is associated with chronic arthromyalgias and fatigue and cognitive dysfunction. Safety concerns largely depend on the long biopersistence time inherent to this adjuvant, which may be related to its quick withdrawal from the interstitial fluid by avid cellular uptake; and the capacity of adjuvant particles to migrate and slowly accumulate in lymphoid organs and the brain, a phenomenon documented in animal models and resulting from MCP1/CCL2-dependant translocation of adjuvant-loaded monocyte-lineage cells (Trojan horse phenomenon). These novel insights strongly suggest that serious re-evaluation of long-term aluminum adjuvant phamacokinetics and safety should be carried out.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
L’oxyhydroxyde d’aluminium (Alhydrogel®) introduit dans les vaccins en 1926 pour son effet adjuvant immunologique est un composé nanocristallin formant des agrégats. Il est l’adjuvant le plus couramment utilisé dans les vaccins humains et vétérinaires, mais les mécanismes par lesquels il stimule les réponses immunitaires restent mal définis. Bien que généralement bien toléré sur le court terme, il a été soupçonné de parfois provoquer des problèmes neurologiques, sur le long terme, chez des individus sensibles. Les préoccupations de sécurité dépendante en grande partie de la longue bio-persistance inhérente à cet adjuvant, qui peut être liée à son retrait rapide du liquide interstitiel par une sévère absorption cellulaire ; et la capacité des particules d’adjuvant à migrer et à s’accumuler lentement dans les organes lymphoïdes et le cerveau, phénomène documenté dans des modèles animaux et résultant d’une translocation dépendante de MCP1/CCL2 des monocytes chargés en adjuvant (phénomène du cheval de Troie). Ces éléments indiquent que les modalités d’analyse de la pharmacocinétique et de la sécurité des adjuvants aluminiques doivent être complètement réévaluées.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Aluminum, Vaccines, Myofasciitis, Granuloma, Myalgias, Chronic fatigue syndrome, Cognitive dysfunction, SPECT, PET-scan, CCL2
Mots clés : Aluminum, Vaccins, Myofaciite, Granulome, Myalgies, Syndrome de fatigue chronique, Dysfonction cognitive, SPECT, TEP scan, CCL2
Plan
Vol 100 - N° 329
P. 85-94 - juin 2016 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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