Apport des études de jumeaux à la connaissance des rhumatismes inflammatoires - 10/05/16
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Résumé |
Les rhumatismes inflammatoires regroupent plusieurs maladies qui touchent les articulations et les structures périarticulaires. Dans ces maladies, la contribution génétique est souvent inférieure à 50 %, suggérant une large part « environnementale ». Pour évaluer le rôle de la génétique dans ces maladies, les études les plus appropriées sont celles des jumeaux. Quelques études réalisées sur d’importants effectifs de paires de jumeaux monozygotes (MZ) et dizygotes (DZ), dont l’un des deux est atteint de rhumatisme inflammatoire, permettent de tirer des conclusions probantes. C’est surtout le cas pour la spondylarthrite ankylosante et la polyarthrite rhumatoïde. Pour d’autres maladies, cette évaluation reste plus difficile. Nous verrons ici que génétique et environnement sont inextricablement liés et qu’il est faux d’avoir une vision binaire « génétique » ou « environnement ». Il est important de connaître les limites et les biais possibles des études sur les jumeaux pour mieux comprendre le développement de ces maladies complexes que sont les rhumatismes inflammatoires.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Rhumatisme inflammatoire, Jumeaux, Monozygote, Dizygote, Héritabilité
Plan
☆ | Ne pas utiliser, pour citation, la référence française de cet article, mais la référence anglaise de Joint Bone Spine avec le doi ci-dessus. |
Vol 83 - N° 3
P. 169-176 - mai 2016 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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