Imputabilité en pharmacovigilance : de la méthode française originelle aux méthodes réactualisées - 04/05/16
pages | 8 |
Iconographies | 0 |
Vidéos | 0 |
Autres | 0 |
Résumé |
Les méthodes d’imputabilité en pharmacovigilance ont été développées dès les années 1970–1980. La méthode française d’imputabilité fait partie des premières méthodes d’imputabilité, après les méthodes pionnières de Irey et de Karch et Lasagna ; initialement publiée en 1978, elle a été actualisée en 1985, puis réactualisée en 2011. Les principales modifications de la méthode française d’imputabilité sont résumées et présentées sous forme de tableaux. Les versions successives ont amélioré la présentation de la méthode avec une définition plus formalisée des critères d’imputabilité, tout en préservant sa facilité d’utilisation. L’imputabilité permet de formaliser et d’expliciter l’évaluation du lien de causalité entre la prise d’un médicament et la survenue d’un effet indésirable et constitue une aide pour le diagnostic et la conduite à tenir devant un effet indésirable. Elle peut contribuer à la qualité et à la pertinence des données enregistrées dans les bases de données de pharmacovigilance.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Imputabilité, Pharmacovigilance, Effets indésirables
Plan
Vol 71 - N° 2
P. 171-178 - avril 2016 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’achat d’article à l’unité est indisponible à l’heure actuelle.
Déjà abonné à cette revue ?