A program of circuit resistance training under hypobaric hypoxia conditions improves the anaerobic performance of athletes - 31/03/16
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Summary |
Objective |
Training high–living low model has been studied as an intermittent hypoxic training (IHT) for anaerobic performance improvement. To test the hypothesis that a high-intensity circuit strength training (CST) performed in hypoxia increases the anaerobic running performance at sea level.
Equipment and methods |
Twelve sub-elite male 400-m runners were divided into two groups: hypoxia (HYP) (n=6) and control (NOR) (n=6). Twelve sessions were performed over a period of four weeks (three days/week) without any additional running training. Hypobaric training was performed at a simulated altitude of 3000m (700hPa; 10.15 PSI). The anaerobic running performance was tested with a repeated interval running training (RIR). Based on an “all-out” 300-m test performed before and after CST, the subjects performed as many sets as they could at 90% of the individual maximal speed reached with a three-minute rest period between sets.
Results |
As compared to controls, the HYP group showed the following responses post CST: RIR +20.5% (number of sets) (P<0.03); (HYP: 4.3±1 to 6.6±1.9 vs. NOR: 3.6±1 to 4.6±1.3), maximal lactate accumulation (in the last set) +8.1% (P<0.03) (HYP: 11.8±1 to 15.7±1.3 vs. NOR: 12.5±0.9 to 14.6±1.6). Maximum and recovery heart rates finishing the test and hematology did not show statistically significant differences (P>0.05). However, CST in HYP showed a higher HRavg (152.6±6.2) than sea level training (144.4±5.1) (P<0.01).
Conclusions |
These data indicate that a CST in hypoxia conditions increases the anaerobic performance in trained athletes.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Objectif |
Le modèle « travailler en altitude–vivre en bas » a été étudié comme moyen d’amélioration d’hypoxie sur la performance anaérobie, l’hypothèse de cette étude étant qu’on était en mesure de l’augmenter par rapport au niveau de la mer grâce à un exercice de forte intensité (CST).
Matériels et méthodes |
Douze coureurs mâles sub-élites étaient divisés en deux groupes, hypoxie (HYP) (n=6) et témoin (NOR) (n=6). Douze séances ont été réalisées sur une période de quatre semaines à raison de trois jours par semaine. L’entraînement en hypobarie était réalisé à une altitude simulée de 3000m (700hPa, 10,15 PSI). La performance de course en anaérobie a été testée par interval training (RIR). Basé sur un test « à fond » de 300mètres, les sujets exécutaient autant de séquences qu’ils pouvaient à 90 % de la leur vitesse maximale avec des pauses de trois minutes entre séquences.
Résultats |
Le groupe hypoxie a montré, par rapport aux témoins : RIR +20,5 % (p<0,03), HYP : 4,3 à 1,9 vs NOR, lactatémie maximale +8,1 % (p<0,03) (HYP 11,8 à 15,7 vs NOR : 12,5 à 14,6). Les fréquences maximales et de récupération en fin d’exercice et l’hématologie n’ont pas montré de différences significative. Cependant, CST était plus élevé en HYP qu’au niveau de la mer.
Conclusion |
Ces données montrent qu’un exercice de forte intensité pratiqué en hypoxie est en mesure d’augmenter la performance anaérobie.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Hypoxic training, Running, Anaerobic performance
Mots clés : Entraînement en altitude, Course, Performance anaérobie
Plan
Vol 31 - N° 2
P. 78-87 - avril 2016 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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