Scales, Enamel, Cosmine, Ganoine, and Early Osteichthyans - 24/02/16
pages | 20 |
Iconographies | 17 |
Vidéos | 0 |
Autres | 0 |
Abstract |
Ganoine is a different enamel from “true” enamel. The crystallites end in the middle of the projection of epidermal cell onto the ganoine surface. In contrast, “true” enamel shows the borders of the hexagonal epidermal cells. Cosmine is a combination of tissues (“true” enamel and dentine) and a structure (the pore–canal system). The pore–canal system opens in regular arranged pores on the scale surface and has a network of horizontal canals (mesh canals). Cosmine is limited to sarcopterygians possibly above actinistians and onychodonts, ganoine to actinopterygians. – Actinopterygian scales possess a narrow peg, an anterodorsal extended corner and ganoine either as overlapping or as multilayered enamel, whereas sarcopterygian scales have a broad based peg, no extended anterodorsal corner with two exceptions, but sometimes an anteroventral extension and cosmine. – The genera Andreolepis, Dialipina, Naxilepis, Terenolepis, Ligulalepis and Orvikuina are actinopterygians based on their scale characters. Additionally, Guiyu, Meemannia, Achoania and Psarolepis possess actinopterygian features. According to its scale characters Lophosteus is a stem osteichthyan.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
La ganoïne est un émail différent de l’émail « vrai ». Les cristallites s’y terminent au centre de la projection des cellules épidermiques sur la surface de la ganoïne. Au contraire, l’émail « vrai » conserve la trace des bords des cellules épidermiques hexagonales. La cosmine est une combinaison d’un tissu (émail « vrai » et dentine) et d’une structure (le système pores–canaux). Le système pores–canaux s’ouvre en un arrangement régulier à la surface de l’écaille et possède un réseau de canaux horizontaux (canaux en réseau). La cosmine est limitée aux sarcoptérygiens, éventuellement plus dérivés que les actinistiens et onychodontes, la ganoïne aux actinoptérygiens. Les écailles des actinoptérygiens possèdent un tenon articulaire étroit, un angle antéro-dorsal prononcé et de la ganoïne à émail soit recouvrant, soit pluristratifié, tandis que les écailles de sarcoptérygiens ont un tenon articulaire à large embase, pas d’angle antéro-dorsal prononcé, sauf deux exceptions, mais parfois une extension antéro-ventrale et de la cosmine. Les genres Andreolepis, Dialipina, Naxilepis, Terenolepis, Ligulalepis et Orvikuina sont des actinoptérygiens d’après les caractères de leurs écailles. En outre, Guiya, Meemania, Achoania et Psarolepis présentent des traits d’actinoptérygiens. D’après les caractères de ses écailles, Lophosteus est un ostéichthyen souche.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Vertebrates, Early Osteichthyans, Actinopterygians, Sarcopterygians, Scales, Morphology, Histology
Mots clés : Vertébrés, Ostéichthyens souche, Actinoptérygiens, Sarcoptérygiens, Écailles, Morphologie, Histologie
Plan
Vol 15 - N° 1-2
P. 83-102 - janvier 2016 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’achat d’article à l’unité est indisponible à l’heure actuelle.
Déjà abonné à cette revue ?