Effective local control of advanced soft tissue sarcoma with neoadjuvant chemoradiotherapy and surgery: A single institutional experience - 23/02/16
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Abstract |
Purpose |
There is a sound theoretical basis but little clinical evidence substantiating the benefits of concurrent chemoradiotherapy with two-drug chemotherapy for locally advanced soft tissue sarcomas. Our five-year data on the feasibility and effectiveness of neoadjuvant chemoradiotherapy with systemically effective doses of adriamycin and ifosfamide combined is presented here.
Patients and methods |
Between 2000 and 2011, 53 patients with UICC (2010) stage I (n=1, 1.9%), II (n=12, 22.7%) or III (n=40, 75.5%) nonmetastatic soft tissue sarcoma received neoadjuvant chemoradiotherapy with ifosfamide (1.5g/m2/day, d1–5, q28) and doxorubicin (50mg/m2/day, d3, q28) plus concurrent radiotherapy with a target dose of 50–64Gy (median 60Gy). The treatment of 34 patients (64.2%) was combined with hyperthermia.
Results |
At five years, the local control rate was 89.9% (±5.7%), distant metastasis-free survival 66.6% (±7.6%), and survival 83.3% (±6%). The R0 resection rate was 81.1%. Radiotherapy was completed as planned in all patients and chemotherapy in 42/53 (70.2%). Grades III (n=21, 29.6%) and IV (n=18, 34%) leukopenia was the main acute adverse event. All acute and chronic non-hematologic toxicities were moderate.
Conclusion |
Neoadjuvant chemoradiotherapy for soft tissue sarcoma is associated with good feasibility, manageable acute and late toxicities, and high local efficacy.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Objectif de l’étude |
Bien qu’il y ait une base théorique solide, peu d’études cliniques ont montré un avantage à l’administration d’une radiothérapie associée à une chimiothérapie dans le traitement des sarcomes de tissus mous avant la chirurgie. Nos résultats à cinq ans sur la faisabilité et l’efficacité de la chimioradiothérapie néoadjuvante avec des doses efficaces d’adriamycine et ifosfamide sont présentés ici.
Patients et méthodes |
Entre 2000 et 2011, 53 patients atteints d’une tumeur de tissus mous non métastatiques de stade I (n=1, 1,9 %), II (n=12, 22,6 %) ou III (n=40, 75,5 %) selon la classification de 2010 de l’UICC ont reçu une chimioradiothérapie néoadjuvante avec ifosfamide (1,5g/m2/j, j1–5, q28) et doxorubicine (50mg/m2/j, j3, j28) associée à une radiothérapie concomitante de 50 à 64Gy (médiane 60Gy). Chez 34 patients (64,2 %), le traitement a été associé avec une hyperthermie.
Résultats |
À cinq ans, le taux de contrôle local était de 89,9 % (±5,7 %), celui du contrôle à distance de 66,6 % (±7,6 %) et celui de suivi de 83,3 % (±6 %). Le taux d’exérèse R0 était de 81,1 %. La radiothérapie a été réalisée chez tous les patients, la chimiothérapie chez 42 patients (70,2 %). Une leucopénie de grades III (n=21, 29,6 %) et IV (n=18, 34 %) représentait le principal effet secondaire aigu. La toxicité aiguë et celle chronique non hématologiques étaient modérées.
Conclusion |
Une chimioradiothérapie néoadjuvante pour les sarcomes des tissus mous est associée à une bonne faisabilité, une toxicité aiguë et chronique tout à fait acceptable et une bonne efficacité locale.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Sarcoma, Neoadjuvant, Chemotherapy, Chemoradiotherapy, Radiotherapy, Toxicity, Survival, Recurrence
Mots clés : Sarcomes des tissus mous, Néoadjuvant, Chimioradiothérapie, Toxicité, Survie, Récidive
Plan
Vol 20 - N° 1
P. 6-13 - février 2016 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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