Association of low weekly physical activity and sedentary lifestyle with self-perceived health, pain, and well-being in a Spanish teenage population - 22/11/15
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Summary |
Background |
Physical activity (PA) and sedentary lifestyle have been widely associated with specific physiological effects in adolescents. However, the relation of physical activity and a sedentary lifestyle with self-perceived health, pain, and well-being is less evident, and sometimes gender differences generate contradictory results.
Objectives |
To determine the association of low weekly physical activity level and highly sedentary lifestyles with self-perceived, pain, and well-being in a Spanish teenage population.
Prospects and projects |
A quantitative cross-sectional study was conducted. A total of 2293 Spanish 12–16-year-old adolescents participated in the present study. Self-perceived health, pain, well-being, and sedentary lifestyle were assessed with the Health Behaviour in School-Aged Children questionnaire. The association between variables was studied by binary logistic regression analysis and all analyses were adjusted by age and BMI.
Results |
Boys and girls with low PA levels had significantly higher odds ratios (OR) and were more likely to consider their self-perceived health level as low (OR=1.436 and OR=1.467, respectively). Boys with low PA levels showed greater risk of suffering pain sometimes (vs. never; OR=1.303) and perceiving well-being sometimes (vs. always; OR=1.786). Boys who watch TV most at weekends and PC on weekdays showed higher odds ratios (OR) and are more likely to perceive well-being only sometimes (vs. always; OR=1.282) and to consider their health level as low (vs. excellent; OR=1.217).
Conclusion |
Low weekly PA leads to reduced self-perceived health in teenagers. It also increases the risk of pain and decreases the well-being of teenage boys. The effects of a highly sedentary lifestyle may differ according to gender and type of sedentary activity (TV, PC, or homework). These differences suggest the need of specific approaches to PA and sedentary lifestyle levels according to gender.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Contexte |
L’activité physique (AP) et la sédentarité ont été largement associées à des effets physiologiques spécifiques chez les adolescents. Toutefois, la relation entre l’activité physique et un mode de vie sédentaire à la santé auto-perçue, la douleur et le bien-être est moins évidente, et parfois des différences entre les sexes produisent des résultats contradictoires.
Objectif |
Déterminer l’association de faible niveau d’activité physique hebdomadaire et un mode de vie très sédentaire avec la santé auto-perçue, la douleur et le bien-être d’une population adolescente espagnole.
Perspectives et projets |
Une étude quantitative transversale a été menée. Avec un total de 2293 Espagnols âgés de 12–16ans, les adolescents ont participé à la présente étude. La santé auto-perçue, la douleur, le bien-être et la sédentarité ont évalué les comportements de santé chez les enfants en âge scolaire par questionnaire. L’association entre les variables a été étudiée par analyse de régression logistique binaire et toutes les analyses ont été ajustées selon l’âge et l’IMC.
Résultats |
Les garçons et les filles avec des niveaux d’AP faibles connaissent des ratios (OR) significativement plus élevé et étaient plus susceptibles de considérer leur niveau de santé comme faible (OR=1,436 et OR=1,467, respectivement). Les garçons avec les niveaux d’AP faibles ont montré un risque accru de souffrir de douleur partiellement (vs jamais ; OR=1,303) et la perception du bien-être, parfois (vs toujours ; OR=1,786). Les garçons qui regardent la télévision le week-end et utilisent le PC en semaine ont montré des ratios plus élevés (OR) et sont plus susceptibles de percevoir le bien-être rarement (vs toujours ; OR=1,282) et à prendre en compte leur niveau de santé le plus bas (vs excellente ; OR=1,217).
Conclusion |
La faible AP hebdomadaire mène à une santé auto-perçue réduite chez les adolescents. Il augmente également le risque de douleur et diminue le bien-être des adolescents. Les effets d’un style de vie très sédentaire peuvent différer selon le sexe et le type d’activité sédentaire (TV, PC ou les travaux ménagers). Ces différences suggèrent la nécessité d’approches spécifiques aux AP et les niveaux de vie sédentaires selon le sexe.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Physical activity, Sedentary lifestyle, Self-perceived health, Pain, Well-being
Mots clés : Activité physique, Mode de vie sédentaire, L’autoévaluation de la santé, Douleur, Bien-être
Plan
Vol 30 - N° 6
P. 342-351 - décembre 2015 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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