La densité du PSA ? 0,10 ng/mL/g permet-elle de mieux sélectionner les patients éligibles à la surveillance active du cancer de prostate localisé chez les patients antillais ? - 29/10/15
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Résumé |
Objectifs |
Au sein d’une cohorte prospective de patients antillais éligibles à une surveillance active pour cancer de prostate localisé, nous avons recherché un critère de sélection supplémentaire améliorant la survie sans traitement.
Méthodes |
Étude comparant un groupe sélectionné suivant les critères retenus par l’AFU et un second groupe sur-sélectionné par une densité du PSA≤0,10ng/mL/g au diagnostic. Après avoir analysé les critères démographiques et biologiques, nous avons comparé la survie sans traitement à 2ans et 4ans.
Résultats |
Au total, 151 patients correspondaient au groupe AFU et 51 au groupe AFU+ densité du PSA≤0,10ng/ml/g. La survie sans traitement à 2ans était dans le groupe AFU de 75 % et dans le groupe AFU+ densité≤0,10ng/mL/gr de 87 %. À 4ans, la survie sans traitement était dans le groupe AFU de 57 % et dans le groupe AFU+ densité≤0,10ng/mL/g de 75 % (p=0,09)
Conclusion |
La surveillance active du cancer de prostate semble sûre, même en population risque. La densité du PSA≤0,10ng/ml/g au diagnostic semble améliorer la survie sans traitement à 2 et 4ans dans notre population antillaise mais sans corrélation statistique (p=0,09) (Fig. 1).
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Vol 25 - N° 13
P. 833-834 - novembre 2015 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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