Clinically localised prostate cancer can be treated with various modalities after which there are a comparable overall survival. In this study the sexual function and quality of life was evaluated in patients treated with brachytherapy combined with external beam radiotherapy (EBRT).

One hundred and eleven patients with clinically localised prostate cancer were treated with HDR-Ir-192 brachytherapy in combination with EBRT from February 2000 to August 2003. An interview was conducted consisting of a questionnaire based on the International Index of Erectile Function (IIEF) and the European Organisation for Research and Treatment of Cancer (EORTC) QLQ-C30, concerning erectile function and quality of life.

One hundred and three (96%) men consented for interview. The mean time following treatment was 28 months (range 6-36). Thirty-six men (35%) had normal erections at the time of interview, 23 men (22%) had no erections, 25 (25%), had variable erections whilst sexually active. Thirty men (29%) had had successful penetrative sexual intercourse in the 4 weeks preceding the interview each time they had attempted to do so. A further 15 (15%) had mostly successful penetration whenever they had tried during the previous 4 weeks. Nine (9%) had been unable to achieve penetration and 45 men (44%) had made no attempt at penetration. Importantly, 81 men (79%) indicated that their sexual function overall was reduced in comparison to the situation before treatment. Twenty-two men (21%) stated that their sexual function was unchanged and no man found that there had been an improvement as compared to pre-treatment.

A reasonable number of men (60%) had erections of variable quality at the time of interview following treatment. However, 79% of men stated that their overall level of sexual function was reduced post-treatment. We have insufficient comparative baseline data to enable us to make a direct comparison between pre- and post-treatment sexual function. Patients rated their general level of health and quality of life as good following treatment.

Le cancer de la prostate cliniquement localisé peut être traité par plusieurs modalités dont les pronostics de survie sont globalement comparables. Dans cette étude, l'activité sexuelle et la qualité de vie ont été évaluées chez des patients traités par curiethérapie combinée à une radiothérapie par rayons externes (EBRT).

Cent onze patients ayant un cancer de la prostate cliniquement localisé ont été traités par la curiethérapie HDR-Ir-192 en association avec l'EBRT de février 2000 à août 2003. Un entretien concernant la fonction érectile et la qualité de vie a été mené. Cet entretien comportait un questionnaire fondé sur l'Index international de la fonction érectile (IIEF) et sur le QLQ-C30 de l'Organisation européenne pour la recherche et le traitement du cancer (EORTC).

Cent trois hommes (96%) ont accepté d'être interrogés. Le délai moyen écoulé depuis le traitement était de 28 mois (de 6 à 36). Trente-six hommes (35%) avaient des érections normales au moment de l'entretien, 23 hommes (22%) n'avaient pas d'érections, 25 (25%) avaient des érections variables pendant l'activité sexuelle. Trente hommes (29%) avaient eu un rapport sexuel réussi avec pénétration dans les quatre semaines qui avaient précédé l'entretien, chaque fois qu'ils avaient essayé et 15 autres hommes (15%) presque chaque fois. Neuf (9%) avaient été incapables de réaliser une pénétration et 45 hommes (44%) n'avaient fait aucune tentative de pénétration. Il convient de souligner que 81 hommes (79%) ont indiqué que leur activité sexuelle a été généralement réduite par rapport à la période d'avant le traitement. Vingt-deux hommes (21%) ont déclaré que leur activité sexuelle est restée inchangée et aucun homme n'a trouvé d'amélioration par rapport à la période antérieure au traitement.

Un nombre raisonnable d'hommes (60%) avaient des érections de qualité variable au moment de l'entretien ayant eu lieu après le traitement. Cependant, 79% des hommes ont déclaré que leur niveau global d'activité sexuelle était réduit après le traitement. Nous avons des données comparatives de base insuffisantes pour nous permettre de faire une comparaison directe de l'activité sexuelle pré- et post-traitement. Les patients ont estimé leur état général de santé et leur qualité de vie étaient bons après le traitement.