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The effect of angioembolization for life-threatening retroperitoneal hemorrhage in patients with pelvic fracture - 07/08/18

Doi : 10.1016/j.ajem.2018.06.043 
Chih-Yuan Fu 1, Sheng Yu Chan 1, Shang-Yu Wang , Chi-Hsun Hsieh, Chien-Hung Liao, Jen-Fu Huang , Yu-Pao Hsu , Shih-Ching Kang
 Department of Trauma and Emergency Surgery, Chang Gung Memorial Hospital, Chang Gung University, Taiwan 

Corresponding author at: Department of Trauma and Emergency Surgery, Chang Gung Memorial Hospital, 5, Fu-Hsing Street, Kwei Shan Township, Taoyuan, Taiwan.Department of Trauma and Emergency SurgeryChang Gung Memorial Hospital5, Fu-Hsing StreetKwei Shan TownshipTaoyuanTaiwan
Sous presse. Épreuves corrigées par l'auteur. Disponible en ligne depuis le Tuesday 07 August 2018
Cet article a été publié dans un numéro de la revue, cliquez ici pour y accéder

Abstract

Background

Conventionally, pelvic fracture-related acute retroperitoneal hemorrhage (ARH) is life threatening and difficult to control. However, the use of angioembolization to treat fracture-associated ARH improves the hemodynamic stability of patients with pelvic fractures. The role of angioembolization in the management of patients with pelvic fracture-related ARH was examined.

Materials and methods

We retrospectively reviewed a large case series of patients with pelvic fractures between January 2010 and December 2014. Comparisons were made between patients with and without ARH. In addition, the characteristics of mortality were delineated, whereas the causes of death in patients with pelvic fracture were discussed and analyzed.

Results

A total of 1070 patient records were reviewed during the 60-month study period, and the overall mortality rate of pelvic fracture was 7.7% (82/1070). However, there were only seven patients who died due to uncontrolled ARH (0.7%). The patients with ARH had more injuries to other organs than did the patients without ARH (head: 79.7% vs. 31.7%, p < 0.001; chest: 50.3% vs. 10.9%, p < 0.001; abdomen: 72.0% vs. 22.7%, p < 0.001; spine: 12.6% vs. 4.4%, p < 0.001; extremities: 69.2% vs. 44.3%, p < 0.001).

Conclusion

The treatment for pelvic fracture patients declared dead upon arrival remains limited. However, pelvic fracture-related ARH could be controlled effectively with angioembolization. In addition to ARH, injuries to other organs may play a key role in the mortality of patients with pelvic fractures.

Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

Keywords : Retroperitoneal hemorrhage, Pelvic fracture, Angioembolization


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