Place de l’IRM dans le diagnostic des compressions médullaires - 09/03/17
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Résumé |
Objectifs |
Préciser l’intérêt de l’IRM dans le diagnostic des compressions médullaires. Décrire et illustrer les principales étiologies des compressions médullaires.
Matériels et méthodes |
Étude rétrospective de 50 cas de compression médullaire, étalées sur une période de 2 ans (2014–2016) et menée au service de radiologie du CHU Mohammed V d’Oujda. Tous les patients ont été explorés par une IRM vertébro-médullaire sur un appareil 1,5 tesla en séquences sagittales en T1, T2 et STIR et en séquences axiales en T2, séquences axiales et sagittales en T1 avec injection de gadolinium.
Résultats |
L’âge moyen est de 58 ans (15–80 ans) avec une prédominance féminine. La symptomatologie clinique : syndrome de compression médullaire débutant ; 52 % syndrome de la queue de cheval ; 12 % ; syndrome de compression médullaire complet 36 %. Le diagnostic topographique des lésions : lésion extradurale 72 %, lésion intradurale extramédullaire 15 %, lésion intramédullaire 13 %. Le diagnostic étiologique : origine tumorale 45 %, dégénérative 25 %, traumatique 15 %, infectieuse 13 %.
Conclusion |
La compression médullaire est une véritable urgence neurochirurgicale, diagnostique et thérapeutique dont les causes sont multiples et variées. L’IRM médullaire est l’examen de première intention permettant le diagnostic positif, étiologique et de gravité.
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Vol 44 - N° 2
P. 107-108 - mars 2017 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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