Maux du travail : dégradation, recomposition ou illusion ? - 23/02/11
Résumé |
Dans l’espace public français, l’attention a été largement portée ces dernières années sur les effets délétères des nouvelles formes d’organisation du travail. Le stress, la souffrance, le burn out, les risques psychosociaux, les suicides sont des thématiques qui mobilisent experts, médias et hommes politiques. Qu’ont à dire les sciences sociales à ce sujet ? Plusieurs réponses sont ici proposées. Elles opposent au premier chef les chercheurs qui regardent les maux du travail comme des constructions sociales à ceux qui les analysent comme les implications du mouvement d’intensification de l’activité productive.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Abstract |
In recent years, the attention of French public opinion has been focused on the noxious effects of new ways of organizing work. Stress, “suffering”, burnout, psychosocial risks and suicides are topics that have brought experts, the media and politicians into action. What do the social sciences have to say about this? Among the several reactions presented, the principal contrast arises between those who analyze the ills of work as “social constructions” and those who see them as the implications of a trend toward intensifying job-related activities.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Organisation du travail, Maladies professionnelles, Stress, Souffrance, Suicide, Syndicats
Keywords : Organization of work, Occupational illnesses, Stress, Suffering, Suicide, Labor unions, France
Plan
Vol 53 - N° 1
P. 3-36 - janvier 2011 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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