Malformations des artères pulmonaires. Cardiopathies cyanogènes : aspects IRM - 01/01/02
Christophe Clair.
Éric Delabrousse.
Philippe Sarliève.
Serge Brunelle.
Philippe Manzoni.
Fédération de radiologie A et C, Laboratoire d'imagerie et d'ingénierie pour la santé - Faculté de médecine de Besançon
Y Bernard : Service de cardiologie
Centre hospitalier universitaire (CHU) Jean Minjoz, boulevard Fleming, 25030 Besançon France
Dany Vetter : Unité d'imagerie par résonance magnétique de Hautepierre.
Yvette Bernard : Service de cardiologie B. CHU de Strasbourg
1 place de l'Hôpital, 67000 Strasbourg France
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Résumé |
La visualisation fiable de la voie d'éjection droite de l'artère pulmonaire (en situation rétrosternale) et des branches droite et gauche (situées en profondeur) est difficile en échocardiographie et la réalisation d'une angiographie peu performante dans ce domaine n'est pas anodine, en particulier chez le jeune enfant. L'imagerie par résonance magnétique (IRM), non invasive du fait de son abord multicoupes (sagittal, axial, oblique...), son large champ de vue et son absence de sensibilité aux écrans osseux ou gazeux, son approche fonctionnelle sur les flux, et l'angiographie par résonance magnétique contournent parfaitement ces difficultés.
Nous envisageons dans cet article en premier lieu les aspects IRM des malformations de l'artère pulmonaire proprement dite, puis faisons un rappel des principales cardiopathies touchant la voie droite (cyanogènes) où l'IRM est essentiellement utile pour évaluer le lit artériel pulmonaire.
Mots-clés : malformations de l'artère pulmonaire, cardiopathies cyanogènes, imagerie par résonance magnétique
Plan
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